Vol de nuit pour Madagascar.
Arrivée en milieu de journée dans la capitale de Madagascar à Antananarivo. Accueil par votre guide accompagnateur et transfert à l'hôtel (Chalet des Roses ou équivalent). Fin de journée et dîner libres.
Transfert à l’aéroport et envol pour Sambava. Découverte de cette petite ville réputée pour ses cultures de vanille. Visite
d’un petit atelier artisanal ainsi que des plantations... Transfert à l’hôtel en fin d’après-midi.
Après un parcours en véhicule, nous commençons le trekking dans le Parc National de Marojejy, site idéal pour les naturalistes. Découverte de la diversité exceptionnelle de la faune et la flore de l’île telle que les lémuriens, oiseaux, plantes médicinales, orchidées, fougères.... Rencontre avec l’équipe et petite randonnée à travers cette forêt dense luxuriante pour rejoindre notre campement.
Accompagnés de notre guide, nous continuons le trekking, et découvrons différentes variétés d’arbres : les arbres géants, les fougères arborescentes, les sylves à lichen ... Dans l’après-midi, descente jusqu’au campement. Dîner et nuit sous tente.
Nous rejoignons les véhicules puis nous continuons notre route pour rejoindre Vohémar, une petite ville installée au fond d’une
jolie baie très verdoyante. L’après-midi libre à la plage. Nuit à l’hôtel.
Départ matinal, nous prenons la route pour Daraina. Traversée des espaces forestiers à végétation très luxuriante. Arrivée à Daraina en fin de matinée. Excursion pédestre dans la forêt de Bekaraoka à la découverte des lémuriens et flore endémique de la région... En début d’après-midi, nous reprenons la route en direction du Massif de l’Ankarana. Arrivée en fin de journée.
Journée consacrée à la découverte du parc national de l’Ankarana. Randonnée pédestre dans le parc national, visite des petits Tsingy, la grotte des Chauves-souris. Rencontre des lémuriens et oiseaux qui peuplent le parc...
Retour à l'hôtel en fin d'après-midi.
Nous reprenons la route pour atteindre Diego Suarez surplombant sa célèbre baie et son pain de sucre. Arrêts en cours de route pour visiter les petits marchés animés et colorés... En milieu de journée, nous faisons un petit détour pour découvrir après un bout de piste les fameux Tsingy Rouges : composés d'un mélange de différents oxydes dont le fer et sédiments, ces pics surprenants sont nés de l'érosion et forme un paysage étonnant. Arrivée à Diego Suarez en fin d’après-midi.
Petit transfert en voiture pour la baie des Sakalava puis nous partons explorer à pied les 3 baies : la baie des Sakalava, la baie des pigeons, la baie des dunes, découpées dans les rochers et abritant de magnifiques plages aux sables blancs. Nous rejoignons ensuite le village de pêcheurs de Ramena. Déjeuner typique dans un restaurant local sur la plage...
L’après-midi, retour sur Diego : découverte libre de la ville où règne une atmosphère à l’allure nonchalante avec son architecture de l’époque coloniale. Une grande avenue baignée par le soleil où l’on déambule à l’ombre des arcades. Le marché, lui, regorge d’activité avec un va-et-vient incessant de tuk-tuk (triporteur) qui se mêlent aux taxis, aux passants pour ne former qu’un flot indissociable.
Nous partons de bonne heure pour la Montagne des Français. Cette fortification à 400 mètres de hauteur dominant toute la baie de Diego était un point d'observation occupé par les Français. L'ascension (environ 2 heures à pied) par un chemin de croix à travers une végétation d'épineux, d'aloès, et de Baobabs. Le sommet offre un panorama de 360° sur toute la baie et la région. Pour redescendre, nous empruntons un chemin étroit et escarpé qui se faufile le long des parois des Tsingy et abouti dans la vallée des perroquets inondée de végétation que domine d’imposants baobabs.
Route pour rejoindre la petite ville d’Ambanja, région riche en culture de cacao, café, poivre. Notre parcours sera ponctué par des arrêts dans de petits villages animés, où fruits et légumes frais débordent sur les étals le long de la route Arrivée en milieu d’après-midi dans cette petite ville animée.
Le matin, visite des plantations de cacao, café, poivre, vanille... Rencontres des paysans cultivateurs qui vous expliqueront le processus de culture / cueillette / saisonnalités etc... En fin de matinée, nous rejoignons le port de brousse d’Ankify, embarquons à bord d’une vedette rapide et naviguons jusqu’au port de Nosy Be. Accueil et transfert à l’hôtel. Après-midi et repas libre. Nuit en petit déjeuner.
Séjour libre sur l’ile aux Parfums. Vous pouvez tout simplement vous relaxer en bord de mer ou découvrir les environs. Vous disposez d’un large choix d’excursions (à réserver et régler sur place) :
• Excursions en bateau aux Iles Coralliennes (Nosy Komba – Nosy Tanikely – Nosy Iranja – Nosy Sakatia)
• Visite de la réserve de Lokobe
• Visite de Lémuria Land et des distilleries
Suivant les horaires du vol, matinée libre, visite du marché puis nous nous quittons à l'aéroport pour notre vol retour de nuit pour la France.
Arrivée en France et fin du voyage.
| Du | Au | Prix | État | Intéressé(e) ? | Réservez votre aventure |
|---|---|---|---|---|---|
| ven. 24/04/2026 | dim. 10/05/2026 | 4 099 € |
Confirmé dès 2 inscrits
2 intéressés
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Prévenez-moi des changements de statut et d'intérêt de ce départ
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Réserver |
| ven. 30/10/2026 | dim. 15/11/2026 | 3 899 € |
Confirmé dès 2 inscrits
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Réserver |
| ven. 27/11/2026 | dim. 13/12/2026 | 3 899 € |
Confirmé dès 2 inscrits
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Réserver |
| ven. 18/12/2026 | dim. 03/01/2027 | 3 899 € |
Confirmé dès 2 inscrits
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Le nombre de participants peut être inférieur au nombre minimum indiqué ci-dessus.
Pour ce voyage, nous vous recommandons notre assurance multirisque, spécialement étudiée pour le voyage d'aventure.
Une bonne condition physique et une expérience de randonnée sur plusieurs jours peuvent aider.
Les infrastructures routières et économiques de Madagascar sont délabrées. Un voyage dans ce pays d’exception nécessite d’être prêt à accepter des imprévus et des ajustements de programme. Des événements indépendants de notre volonté peuvent modifier les parcours : routes coupées, pénurie d’essence, climat. Les guides mettront toujours tout en œuvre pour apporter la meilleure solution.
De vrais professionnels engagés dans la qualité et l'éthique.
En plus de la formation de base pour devenir accompagnateur, ils bénéficient de sessions de formations continues mises en œuvre avec notre équipe locale, pour vous apporter en toute circonstance soutien et sécurité.
Parce que l'alimentation est aussi le plaisir du voyage, nous portons une attention particulière au contenu des repas et à leur préparation. Élaborés en fonction des besoins énergétiques et diététiques, les repas sont variés.
La découverte d'un pays se fait également par la découverte de la cuisine. Nous dégusterons au restaurant, les spécialités de chaque région.
Gastronomie :
L'aliment de base est le riz (Madagascar exporte le riz de bonne qualité de ses hauts plateaux et importe en plus grande quantité du riz de qualité moindre). De nombreuses cantines bon marché ne proposent donc qu'une assiette de riz, parfois accompagnée de morceaux de viande bouillie ou en ragoût. Outre ce plat principal, on vous servira parfois un petit bol de rano vola (ou ranon'apango), une sorte de soupe obtenue en ajoutant de l'eau bouillante au liquide restant dans la casserole à la fin de la cuisson du riz, ou encore des brèdes (feuilles vertes bouillies).
À côté de ces adresses locales, des restaurants souvent destinés aux voyageurs proposent des repas d'une qualité qui peut surprend dans ce pays où la misère alimentaire est une réalité. Vous pourrez ainsi goûter au romazava, ragoût de zébu et de brèdes, et au ravitoto, ragoût de porc aux feuilles de manioc. Peut-être trouverez-vous également une version malgache de la soupe chinoise, composée de nouilles, de légumes et, dans les meilleurs restaurants, d'un mélange de viandes ou de fruits de mer, le tout servi dans un délicieux bouillon agrémenté d'une bonne dose de coriandre. Sur les côtes, vous dégusterez une grande variété de fruits de mer : crabes, langoustes, crevettes, huîtres. Certains restaurants de l'île proposent par ailleurs des menus rappelant l'héritage français : foie gras, tournedos (de zébu).
Madagascar produit également un peu de vin, rouge et rosé (Betsiléo).
Durant votre voyage, les boissons, y compris l’eau minérale, sont à votre charge. Vous pouvez remplir vos gourdes d’eau, mais il est indispensable de la traiter avec des pastilles purifiantes (micropur ou hydrochlonazone).
Les infrastructures à Madagascar sont encore peu développées, nos standards européens ne se retrouvent pas à l'identique et il y a parfois des endroits où l'eau chaude fait défaut.
Voici les différents types d'hébergement :
En hôtel :
En campement
Tente igloo base double ou twin (tente capacité 3 personnes – pour 2 occupants. Les tentes sont équipées moustiquaires. Des tapis de sol sont mis à disposition : 1 par personne. Matelas fins adaptés pour le bivouac. Nous partons avec toute la logistique de cuisine
En Bungalow :
Les noms des hébergements sont donnés à titre indicatif. En cas d'indisponibilité, vous logerez dans des logements de niveau équivalent.
TRANSPORT INTERNATIONAL :
C'est avec Ethiopian ou Air Austral que vous volerez le plus souvent pour Madagascar. Nous nous engageons auprès d'eux afin de vous garantir le plus longtemps possible les meilleurs tarifs et la meilleure disponibilité. Les départs de certaines villes de province sont possibles, mais il s’agira potentiellement de pré acheminement depuis la province vers Paris soit avec des vols nationaux soit en TGV’air (trajet SNCF faisant partie du billet d’avion) .
DÉPLACEMENT DANS LE PAYS :
Les infrastructures routières sont assez délabrées. Un voyage dans ce pays d’exception nécessite d’être prêt à accepter des imprévus et des ajustements de programme. Des événements indépendants de notre volonté peuvent modifier les parcours : routes coupées, pénurie d’essence... À noter que les moyennes kilométriques sont en fonction de l’état des pistes et peuvent descendre jusqu'à 15 km/h ! Par ailleurs, nous disposons de véhicules robustes adaptés à la configuration du réseau routier, mais n’apportant pas le confort d’un véhicule tout-terrain haut de gamme.
PORTAGE :
Vous ne portez que vos affaires de la journée. Portage de vos affaires condensées par des porteurs lors du trek à Marojejy. Se référer à la rubrique bagages.
Lors du change de vos euros (par exemple 200 €), vous aurez l’agréable surprise de vous sentir millionnaire – littéralement ! La monnaie locale, l’ariary, affiche en effet des montants élevés qui peuvent prêter à sourire.
La monnaie la plus facile à négocier est l'euro (espèces de préférence). Pour les coupures de 50 euros et plus, le change est plus intéressant que pour les coupures de 10 et 20 euros. Le meilleur change est au bureau de change de l'aéroport.
Les cartes bleues sont très rarement acceptées dans les boutiques en dehors de la capitale.
L'Ariary, c'est l'histoire d'une "nouvelle ancienne" monnaie. L'Ariary date de la période royale, avant la colonisation, mais elle a toujours subsisté, en tant qu'unité monétaire locale. Les pièces étaient (et sont) toujours libellées en Ariary.
En brousse, les paysans ont toujours calculé avec cette unité de compte. Depuis l'indépendance de Madagascar en 1960, cette monnaie a cohabité avec les billets qui étaient libellés, eux, en Franc Malgache (FMG).
Aujourd'hui, ce sont donc tous ces billets qui sont appelés à disparaître, en même temps que l'appellation " Franc malgache ". La décision a été prise par le président de la République, Marc Ravalomanana . "Ce retour à la monnaie traditionnelle est pour montrer l'indépendance économique du pays ", explique Marc Ravalomanana.
De manière officieuse, certains experts ajoutent que ce changement de monnaie permet d'assainir le système financier, mettre hors service les milliards de FMG qui ont disparu des caisses de l'État, durant la crise politique de 2002, et retirer du circuit économique malgache tous les faux-billets.
À Madagascar, un petit pourboire peut faire une vraie différence. Les salaires locaux sont très bas comparés aux standards européens, et même une modeste contribution est perçue comme une marque de reconnaissance et de respect. Donner un pourboire, c’est encourager l’économie locale et remercier ceux qui rendent votre voyage possible.
Il est d’usage de laisser un pourboire aux guides locaux, chauffeurs, piroguiers, porteurs ou cuisiniers, ainsi qu’aux enfants qui vous rendent service sur la route (par exemple en tentant de boucher les trous des pistes avec des branches ou des pierres).
Voici quelques repères pour vous aider à estimer votre contribution :
Nous vous conseillons de prévoir plusieurs petites enveloppes pour répartir facilement les pourboires tout au long du voyage. Une enveloppe globale de 80 € par personne pour l’ensemble du séjour constitue un repère réaliste. À cela peuvent s’ajouter, si vous le souhaitez, des dons en vêtements ou petits objets utiles, toujours très appréciés.
Il n’y a bien sûr aucune obligation, mais la générosité est toujours bien accueillie.
La liste qui va suivre est indicative et se veut la plus complète possible. N’oubliez pas que nous sommes dans l’hémisphère Sud et que l’été pour nous correspond à l’hiver, il peut donc faire frais le soir en juillet et août, surtout sur les hauts plateaux et la capitale.
Si vous avez chez vous des vêtements ou petits objets dont vous n’avez plus l’usage, pensez à les emporter avec vous. Avec certaines compagnies aériennes, notamment Ethiopian Airlines, vous bénéficiez de deux bagages en soute de 23 kg – une belle occasion d’en faire profiter ceux qui en ont besoin.
Vêtements simples (pour enfants et adultes : tee-shirts, shorts, pantalons), fournitures scolaires (cahiers, stylos), ou encore petits savons récupérés en hôtel sont toujours très appréciés.
La population malgache, bien que vivant souvent dans des conditions modestes, vous accueillera avec chaleur et sourires. Certains viendront spontanément vers vous, d’autres non, mais un simple geste peut faire naître beaucoup de joie.
Vous pouvez répartir ces dons dans plusieurs sacs, à distribuer au fil de votre itinéraire, lors des rencontres dans les villages. Un sourire, une attention, un petit geste : votre générosité trouvera toujours un écho.
Précisions sur les saisons :
Dans les Hautes Terres :
Au Nord, au sud et à l'ouest :
À l'est :
L'ensemble de vos bagages doit être réparti dans 2 sacs :
Les bagages sont transportés par véhicule, puis portés manuellement lors du trek dans le Parc national de Marojejy. Pour faciliter cette manutention, merci de choisir un sac souple muni de poignées ou de bretelles, permettant d’être porté sur le dos.
Attention, certains pays interdisent l'importation et l'utilisation des cigarettes électroniques, nous vous recommandons donc vivement de vous renseigner auprès des autorités compétentes (MAE, ambassade, consulat) avant votre départ.
Votre accompagnateur dispose d'une pharmacie de première urgence. Toutefois, il est recommandé d'apporter vos médicaments personnels (en nombre suffisant) : aspirine, élastoplast, double peau, alcool iodé, antiseptique intestinal, petits ciseaux, tricostéril, crème de protection solaire visage et lèvres, crème ou lotions antimoustiques, hydroclonazone pour purifier l'eau, collyre pour les yeux, traitement antipaludéen ...
Un traitement anti-paludéen est recommandé mais pas obligatoire.
